Horloge à long boîtier en acajou de l'époque géorgienne

... la Vierge Marie, saint Mathias, jour de Pâques, jour de la Dame, saint Georges, saint Marc, saint Philippe, restauration du roi Charles II (29 mai), saint Barnabé, le jour le plus long de l'année, saint Jean-Baptiste, saint Pierre, saint Jacques, jour de Lammas, saint Barthélemy, saint Matthieu, saint Marc, saint Luc, saint Simon, jour de la Toussaint, saint Martin, saint Thomas, saint Étienne, Sainte Auberge et Circoncision. Le mouvement comporte dix cloches sonnées par dix marteaux et un mouvement musical jouant un air différent pour chacun des sept jours de la semaine (énumérés ci-dessous). Le boîtier en acajou est surmonté d'un fronton en col de cygne sur le capot, entouré de paterae en laiton, flanqué d'un fleuron en laiton en forme de boule et de spirale, au-dessus de panneaux de frettes aveugles, avec des piliers indépendants finement cannelés sur le tronc et le capot, chaque pilastre étant dirigé par des chapiteaux corinthiens en laiton, avec un sommet en forme sur la porte sous une frise sculptée et avec d'autres panneaux sculptés aux quatre coins de la base, le boîtier reposant sur des pieds en console à cabriole. L'horloge porte un certain nombre de morceaux de papier attachés à l'intérieur de la porte et portant les inscriptions suivantes : "Harrison est arrivé le 29 septembre 1899, 3 jours, le 4 décembre 1905, 2 jours. Gordon House Leamington" et "10 août 1911. Harrison est venu et est resté du jeudi au mardi au Bull [ ?] deux jours à l'horloge". Les textes suivants décrivent les airs joués sur le tambour musical : "Sunday : Innocents/ Lundi : The Bluebells of Scotland/ Mardi : Once I loved a maiden fair/ Mercredi : La fille du bailli d'Islington/ Jeudi : Come o'er the stream Charlie/ Vendredi : Mon logement est sur le sol froid/ Samedi : La chanson du troubadour" et "Momento Mori/ En mouvement perpétuel/ Ces mains fidèles prouvent toujours/ La rapidité avec laquelle les heures s'écoulent;/ Ce battement monotone, semblable à une pulsation, répète souvent, il me semble/ 'Rapide ! rapide ! les moments s'envolent. /Lecteur, tiens-toi prêt, car peut-être avant que ces aiguilles n'aient fait une révolution de plus/ Le ressort de la vie est cassé - tu meurs", et sur la même feuille, dans une main ultérieure, "Hood [ ?] base 1911/1752/157 [suggérant peut-être que l'auteur a daté l'horloge de 1752]. Et aussi avec ce qui suit : "Si nos esprits pouvaient se mouvoir comme cette machine/ Sans être poussés par la passion ou retardés par le spleen/ Et en restant fidèles au pouvoir régulateur de la nature/ Par des actes vertueux s'adaptant à chaque heure/ Alors la santé et la joie suivraient comme elles le devraient/ Les lois de la nature et les lois de la pensée/ Une douce santé pour passer les moments présents/ Et une joie éternelle quand le temps ne sera plus/ Byron 1747". Et en dessous : "Le temps est - le moment présent bien employé/ Le temps a été - est passé - tu ne peux pas en profiter/ Le temps futur - n'est pas, et ne sera peut-être jamais!/ Le temps présent - est le seul temps pour toi". Une autre feuille de papier porte l'inscription suivante : "Veille toujours à ce qu'aucune/partie de la lumière du jour ne soit/perdue, car le temps, comme la vague qui s'écoule, est toujours/en train de refluer et de s'écouler".