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Trigonolithe, TAÏNO
Trigonolithe, TAÏNO - Archéologie Style Trigonolithe, TAÏNO - Poisson et Associés
Réf : 102309
12 000 €
Époque :
XIe au XVe siècle
Provenance :
République dominicaine
Materiaux :
Pierre
Dimensions :
L. 18 cm X l. 26 cm X P. 9.5 cm
Archéologie  - Trigonolithe, TAÏNO
Poisson et Associés
Poisson et Associés

Peintures, sculptures et objets d'art du XVe au XVIIe siècle


+33 (0)6 08 93 86 52
Trigonolithe, TAÏNO

Notre artefact est un exemple célèbre de pierre à trois pointes, également connue sous le nom de "trigonolithe", un artefact typique de l'art Taino. L’objet est ancien et authentique avec l’approbation de deux spécialistes mondialement reconnu dans ces civilisations. Il provient exactement de Santo Domingo et fait partie de la célèbre Collection H.Verne. Ce dernier était un célèbre romancier belge, mort en 2021. Il était l'auteur de 230 romans d'aventure et de science-fiction, se déroulant dans le monde entier, notamment dans des lieux exotiques. Il est surtout connu pour sa série de romans "Bob Morane", une série mettant en scène l'un des plus célèbres pilotes français mais aussi un grand aventurier, parcourant sans cesse le monde et recherchant des objets rares pour agrandir sa précieuse collection. Comme le protagoniste de sa série, Henri Vernes était également un grand collectionneur et notre pièce est un magnifique exemple des objets qu'il a rassemblés ...

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... au fil du temps.
L’art Taino expose l'art des groupes aborigènes de la région des Antilles dans la mer des Caraïbes, qui s'est peuplée à partir du 3e siècle avant J.-C., lorsque les premières peintures polychromes et les premiers objets en pierre ont commencé à apparaître. La plupart de ces pierres avaient trois pointes inversées et représentaient des divinités liées aux rituels de fertilité dans les champs et à la reproduction de l'homme. L'extrémité supérieure de ces artefacts se terminait comme le sein féminin, un organe de nutrition et de reproduction de l'espèce et donc une confirmation du message de fertilité qu'il était censé communiquer.
À propos de ces objets, c'est Christophe Colomb lui-même qui a écrit : "La plupart des caciques possèdent trois pierres envers lesquelles eux-memes et leurs peuples montrent une grande dévotion. Ils disent que l'une d'elles est bonne pour les céréales et les légumes qu'ils ont semés ; l'autre, pour que les femmes accouchent sans doleur ; et la troisième, pour avoir de l'eau et du soleil quand ils font défaut'”.

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