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Paire de tabourets en X, dits ployants, en bois sculpté et laqué
Paire de tabourets en X, dits ployants, en bois sculpté et laqué - Sièges Style Paire de tabourets en X, dits ployants, en bois sculpté et laqué - Galerie Philippe Guegan Paire de tabourets en X, dits ployants, en bois sculpté et laqué - Antiquités - Paire de tabourets en X, dits ployants, en bois sculpté et laqué
Réf : 115204
8 000 €
Époque :
XIXe siècle
Provenance :
Italie
Materiaux :
Bois sculpté et laqué, fer, velours de mohair, soie
Dimensions :
l. 65 cm X H. 50 cm X P. 52 cm
Sièges  - Paire de tabourets en X, dits ployants, en bois sculpté et laqué XIXe siècle - Paire de tabourets en X, dits ployants, en bois sculpté et laqué  - Paire de tabourets en X, dits ployants, en bois sculpté et laqué Antiquités - Paire de tabourets en X, dits ployants, en bois sculpté et laqué
Galerie Philippe Guegan
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Antiquités, Beaux-Arts et Art Contemporain


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Paire de tabourets en X, dits ployants, en bois sculpté et laqué

Paire de ployants de style Louis XV.
Bois sculpté et laqué
Italie, fin du XIXe siècle
Garniture à coussins de plume et velours de mohair.

Ces ployants s’inspirent librement de la suite de tabourets livrés pour la duchesse de Parme, au palais de Colorno, dont un exemplaire figurait dans la collection Jacques Garcia, au château du Champ de Bataille (Sotheby's Paris, 16 mai 2023, lot 5). Les montants sculptés d’un décor asymétrique de volutes feuillagées reposent sur des pieds patins.

Les tabourets en X étaient les sièges de cour par excellence. L’usage et l'étiquette française voulait que les courtisans ne s’assoient pas en présence des souverains, mais sous Louis XIII à la cour de France, apparu le privilège, pour certaines femmes titrées, de pouvoir s’assoir en présence de la reine sur des tabourets. On les désignait comme femmes assises ou "tabouret" et cette prérogative fut réservée aux princesses du sang, aux duchesses, et aux princesses ...

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... étrangères.
Recevoir de la reine le tabouret de grâce fut un honneur disputé par les grandes familles jusqu’à la Révolution. Il faisait pendant aux « honneurs du Louvre » privilège accordé à certains hommes d’entrer en carrosse dans la cour des résidences royales.

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