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Pendule Empire à l’allégorie de la méditation et des études, signé Galle
Pendule Empire à l’allégorie de la méditation et des études, signé Galle - Horlogerie Style Empire Pendule Empire à l’allégorie de la méditation et des études, signé Galle - Gallery de Potter d'Indoye Pendule Empire à l’allégorie de la méditation et des études, signé Galle - Empire
Réf : 111689
19 000 €
Époque :
XIXe siècle
Signature :
Claude Galle (1759-1815)
Provenance :
France , Paris vers 1815
Materiaux :
Bronze doré, marbre rouge griotte
Dimensions :
l. 46.3 cm X H. 49 cm X P. 19 cm
Horlogerie Pendule - Pendule Empire à l’allégorie de la méditation et des études, signé Galle XIXe siècle - Pendule Empire à l’allégorie de la méditation et des études, signé Galle
Gallery de Potter d'Indoye
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Mobilier, objets d'art et tableaux du XVIII et du 1er Empire


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Pendule Empire à l’allégorie de la méditation et des études, signé Galle

En bronze doré au feu, avec figure allégorique « vita passiva » et « vita activa ». Structure imposante mais tout aussi élégante, utilisant du marbre rouge griotte dans la base longitudinale. Occupé par deux personnages féminins assis qui encadrent le boîtier du mouvement. Le socle fort repose sur de larges pieds boules, au-dessus du socle en marbre rouge, à décor d'une frise de feuilles d'olivier avec médaillon central. Le boîtier du mouvement en arc de cercle sur le dessus est serti d'une lyre, avec le cadran au-dessus. Les personnages entièrement sculptés sont brunis et complètent le contraste de couleurs entre le marbre et l'or. Ces deux figures féminines abordent une symbolique déjà transmise depuis la Renaissance, entendue ici comme « méditation » et « étude ». Le personnage de gauche est assis pensivement sur un coussin, celui de droite sur un tome et tient un autre livre sur ses genoux. En outre, l'éducation des femmes, très répandue à l'époque, ...

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... est également abordée ici.

Une pendule de Claude Galle du même modèle, signée de la même manière, est présentée dans : Hans Ottomeyer, Peter Pröschel, Gilded Bronzes, The Bronze Works of Late Baroque and Classicism, Munich 1986, p. 709, fig. 28.

Mouvement à ancre, mécanisme e sonnerie à platine de verrouillage avec sonnerie des demi-heures et des heures sur cloche. Pendule sur suspension à fil. Cadran émail blanc avec heures romaines, aiguilles Breguet bleuies.

Claude Galle (1759-1815)
Claude Galle est né à Villepreux près de Versailles. Il fait son apprentissage sous le fondeur Pierre Foy, épousant en 1784 la fille de Foy. En 1786 il devient maître fondeur. A la mort de son beau-père en 1788, Galle prend la direction de l’atelier, qui devient l’un des plus importants de Paris, employant, au plus haut de son activité, près de 400 artisans. Galle déplace l’atelier d’abord Quai de la Monnaie (plus tard Quai de l’Unité), puis, en 1805, 60 Rue Vivienne.
Le garde-meuble de la couronne, sous la direction de sculpteur Jean
Hauré de 1786-88, lui fait l’honneur de plusieurs commandes. Galle
travailla avec beaucoup d’artisans remarquables, tels Pierre-Philippe
Thomire ; il fournit la majorité des bronzes d’ameublement au Château
de Fontainebleau pendant l’Empire. Il reçut de nombreuses commandes, 31impériales, pour des lumières, boîtes de pendule, et vases pour les palais de Saint-Cloud, les Trianons, les Tuileries, Compiègne, et Rambouillet. Il fournit les palais italiens de Monte Cavallo à Rome et Stupinigi près de Turin.

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