EUR

FR   EN   中文

CONNEXION
Apollon au repos, Empire romain Ier s. av.-IIIe ap. J.-C.
Apollon au repos, Empire romain Ier s. av.-IIIe ap. J.-C. - Archéologie Style Apollon au repos, Empire romain Ier s. av.-IIIe ap. J.-C. - Emmanuel Soubielle Works of Art
Réf : 115566
5 000 €
Époque :
Avant JC au Xe siècle
Materiaux :
Bronze
Dimensions :
H. 14 cm
Archéologie  - Apollon au repos, Empire romain Ier s. av.-IIIe ap. J.-C.
Emmanuel Soubielle Works of Art
Emmanuel Soubielle Works of Art

Sculpture et objets d’art


+33 (0)6 77 28 60 74
Apollon au repos, Empire romain Ier s. av.-IIIe ap. J.-C.

Statuette figurant Apollon au repos
Empire romain, Ier s. av.-IIIe ap. J.-C.

Bronze
H.14 cm

Provenance :
Collection M. S. (1942-2022)

Œuvres comparables :
Apollon Sauroctone : Rome, Villa Albani, inv. 952
Satyre au repos : Munich, Staatliche Antikensammlungen, inv 228
Style praxitélisant à l’époque hellénistique : type Pothos attribué à Scopas, Rome, Musées Capitolins, Centrale Montemartini, inv. MC 02417
Apollon lycien : Louvre BR1057

Le bronze représente Apollon nu, le bras gauche accoudé sur un support aujourd’hui disparu, la jambe gauche passant par-dessus la droite qui sert d’appui à la figure. Cette pose élégante et particulièrement tridimensionnelle est issue des recherches plastiques du sculpteur grec Praxitèle, notamment initiées dans le type de l’Apollon sauroctone et qui trouvèrent un aboutissement dans le type satyre au repos.

Le dieu porte des mèches parotides, élément de coiffure plutôt associé à la sculpture grecque ...

Lire la suite

... de la période archaïque. Cette combinaison d’éléments stylistiques d’époques différentes doit nous inviter à considérer ce petit bronze comme une production néo-archaïque de la petite statuaire métallique romaine.

Le bronze a fait l’objet d’un nettoyage drastique comme on le pratiquait sur les bronzes archéologiques trouvés avant le XXème siècle, ce qui explique que l’on distingue la couleur de l’alliage métallique à vif par endroit. Les siècles d’enfouissement ont cependant laissé sur le métal des traces indubitables : le métal est piqué, corrodé, des plaques de cuprite et de malachite sont encore visibles par endroit (traces rouges et vertes). Un long séjour de l’objet à l’air libre a également relancé l’oxydation des surfaces de la statuette, lui donnant cette patine brune uniforme.

Emmanuel Soubielle Works of Art

XVIIIe siècle
Stalactite montée
Stalactite montée

3 900 €

Archéologie