Jean-Marie Petit exerça rue du Faubourg-Saint-Antoine, dans une maison appartenant à une de ses soeurs, Elizabeth Adrienne « Cette dernière avait épousé le maître ébéniste Jean Georges Schlichtig, originaire de Bavière ». Il se maria avec Marie-Rose Damoye, dont il eut deux enfants, une fille Marie-Rose, et un fils Jean-Nicolas, qui devint ébéniste.
Jean-Marie Petit a laissé sa marque sur de jolies pièces en bois de placage, telles qu'une petite commode à devant cintré qui figurait dans la collection de Mme de Bella. Après la mort de son père, Jean Petit, il paraît avoir employé l'instrument de frappe dont ce maître s'était servi, car on trouve l'estampille J. PETIT sur des productions d'une trop basse époque pour avoir été faites par le premier détenteur du poinçon.
BIBLIOGRAPHIE
- Le Mobilier Français du XVIIIème Siècle - Pierre Kjellberg - Les Editions de l'Amateur - 2002
- Les ébénistes du XVIIIe siècle - Comte François de Salverte - Les éditions d'Art et d'Histoire - 1934